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Le président de l'université d'Assiout signe un protocole de coopération avec le Centre national de recherche sociale et criminelle pour la mise en œuvre de projets de recherche communs

Le 15 janvier 2025

Dans son exposé, M. Le  Dr. Al-Manshaoui a indiqué que le protocole a pour objectif de soutenir les politiques gouvernementales par le biais de projets de recherche d'une grande valeur, fondés sur des bases scientifiques solides. Il a également souligné que ce protocole vise à réaliser les objectifs scientifiques, de formation et de recherche des deux parties, à renforcer la communication scientifique mutuelle entre les membres du corps enseignant et les chercheurs, à fournir des références et des index scientifiques, et à tirer parti de l'expertise humaine spécialisée des deux parties.

Dans son discours inaugural, le président de l'université a réaffirmé l'engagement de l'administration envers la mise en place de collaborations éducatives, de recherche et de services avec divers établissements et centres de recherche, tant en Égypte qu'à l'échelle internationale. Cette démarche vise à consolider l'aspect académique et scientifique de l'université tout en amplifiant l'impact des initiatives de développement partagé. Il a exprimé sa satisfaction quant à cette collaboration, qui, à son sens, ouvre des perspectives d'avenir aux étudiants en matière d'interaction et de coopération académique, ainsi que de recherche diversifiée.

Le protocole d'accord entre le Centre national de recherche sociale et criminelle et l'établissement partenaire prévoit plusieurs dispositions relatives à la collaboration scientifique. Il inclut notamment l'échange de productions scientifiques, telles que des mémoires de maîtrise et de doctorat, des études et des recherches. Il prévoit également des visites et des rencontres scientifiques, des projets de recherche conjoints, en particulier sur les questions régionales, la publication et l'échange d'ouvrages et de références, ainsi que la supervision scientifique des mémoires universitaires. De plus, des experts du Centre national de recherche sociale et criminelle sont invités à participer à l'enseignement.